Je m'imagine racontant ces premières journées, mes déceptions, mes espoirs, mes peurs et mes satisfactions. Je l'imagine, là, ma tête sur son épaule, sa main dans la mienne, je l'imagine me racontant ses dernièrs problèmes, ses enfants et ses dilemnes. Je l'imagine mais l'imagination m'est douloureuse parce que la réalisation impossible, malheureuse.
Je voudrais pouvoir lui écrire, encore et encore, lui raconter ses petits faits quotidiens, ses petits riens qu'il raconte si bien. Mais je ne peux plus rien lui dévoiler puisqu'il dit assumer, puisqu'il veut tout arrêter. Il ne me reste que cette odieux silence qui m'enfonce, me plonge dans la souffrance.
J'ai peur, peur de ne pas réussir à tenir, de craquer en plein cours, de m'effondrer en plein jour. La nuit, ou seule dans mon lit, les larmes déferlent sans public mais c'est de plus en plus critique. Chaque seconde, chaque instant immonde est une lutte contre mes sentiments, contre cette fin qui m'attend.
Je voudrais pouvoir lui dire que tout va bien, que je ne ressens plus rien mais je ne le peux pas, il est trop en moi. Alors je me tais, je disparais.
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