Lundi 26 mars 2012 à 23:17

Colère, haine, violence... vengeance?

Lundi 26 mars 2012 à 0:04

Un lit trop grand dans lequel je me perds.

Jeudi 22 mars 2012 à 18:05

Ne plus vraiment comprendre si ce n est savoir que tout est vain, qu'il ne sera jamais assez fort, jamais assez courageux. Le laisser dans sa dépression et vivre, vivre autant que possible, autant que la douleur, la déception le permettent. Aller d espoirs en déception, en désillusion. Passer des moments merveilleux, enchanteurs et tomber de haut en apercevant sa terreur. Je suis lasse de ces montagnes russes, si lasse que je lui ai demandé de partir. En vain. Et puis il y a ces nuits si complices, féeriques, enivrantes, où tout est possible, où la mise en scène semble parfaite. J en frémis encore. Comment oublier? ne pas espérer le revivre. Lui offrir mon désir, mon plaisir, lui offrir l inaccessible.

Dimanche 18 mars 2012 à 7:37

Un pas en avant deux pas en arrière. Loin, la raison me rejoint. Encore un mensonge? Absence de songe. Loin, malaise, ennui. Rien. Je fuis

Vendredi 16 mars 2012 à 20:15


Lui demander de partir, de me quitter et me retrouver dans ses bras, fort, tellement fort que tout semblait possible.

Avait-il juste besoin de moi?

Dimanche 11 mars 2012 à 18:48

Peu à peu le scénario prend forme, reste à peaufiner les détails, à éclaircir les failles.

Ce rien que l'on représente sera le rien de mon existence. Mon absence a de la valeur là où ma présence n'est que labeur.

Je me suis laissée leurrer par des gestes trop faciles. C'est l'essentiel qui donne le la, c'est dans l'adversité que l'on découvre l'autre.

Il s'est protégé. Il a entravé mon repos. Il a laissé les fleurs flétrir ma sérénité.

Il aura suffi de quelques coups de trop pour que file le scénario trop beau.

Samedi 10 mars 2012 à 13:57

Dénicher une soirée aussi drôle et amoureuse, ça faisait longtemps.
Et pourtant, ce matin, les mêmes tourments, les mêmes crises.

Un coup de fil a mis en l'air ma journée.

MArre et en même temps, juste envie d'exister, juste envie d'avoir le droit de parler, de dire stop à cette incursion, à cette interruption continue de notre tranquillité.

Stop! JE dois bosser.

Jeudi 8 mars 2012 à 12:29

Ca faisait longtemps!!!

Dimanche 4 mars 2012 à 11:18

Fais ce que tu veux, déprime autant que tu veux mais STP laisse moi!

qu'il est loin encore l'heure du déménagement!

Jeudi 1er mars 2012 à 19:39

Toujours des mots, encore des mots, les mêmes mots... Encore des mots.

Encore parler, toujours parler et peu à peu s'apaiser. Parce que les mots sont ce qui nous distingue de l'animal, parce que mettre des mots sur ses maux c'est pouvoir les vaincre, parce que les mots obligent à la réflexion, à la mise à distance, parce que les mots ce n'est plus vraiment tout à fait l'événement, c'est déjà hors de nous.

Alors, oui des mots, toujours des mots... mais sans ces mots nous coulons, nous devenons étrangers, nous ne pouvons nous rapprocher.

Les mots font mal, les mots trahissent, les mots sont parfois nos ennemis mais tant qu'ils sont là, un autre est possible, un ailleurs se dessine.

Combien de mots nous fera-t-il? Combien de nuits endolories de paroles?

ENcore des mots..peut-être plus beaux, plus forts et plus intenses que tous les mots d'amour qu'on balance

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