Jeudi 26 décembre 2013 à 20:51

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J'ai perdu ma route, perdu mon chemin.
Je cherche par où aller sans me perdre, sans les oublier.
Demain j'irai arpenter les rues et musées pour laisser croire que rien n'a changé.
Un réveillon sans elles et (est) un Noël sans magie
La peur du prochain et de sa solitude.
Attendre en vain et craindre l'amplitude
de la vie et de ses tourments.
J'arpente des pavés qui m'avaient tout donné
que j'ai choisi de dégrader.
La culpabilité m'étreint, les responsabilités m'acculent.
Jamais, non jamais
je n'aurais imaginé que ce serait aussi difficile
de rester en vie!

Mercredi 25 décembre 2013 à 22:21

Rêver à l'impossible et se contenter d'une réalité parfois douloureuse mais aussi douce.

Assumer ses actes et leurs conséquences dans ce qu'elles ont de plus douloureux.

Refuser la tristesse et s'apaiser à deux, vibrer ensemble et s'endormir fiévreux.

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Apprendre la confiance malgré les maux et les mots malheureux.

Ne pas forcément vivre un Noël idéal mais le vivre parm
i eux. De lui à elles, en passant chez eux et un retour ici en attendant de rentrer là-bas.

Profiter de l'instant sans penser à ce qui  nous attend, une clef difficile, un apprentissage de chaque instant.


Partir pour ce rêve, ces musées, ces expos avec elles malgré la fatigue et la peur.







Ce seront des vacances compliquées, douloureuses, peu reposantes  mais peut-être des vacances heureuses. Si toutefois, cette thyroïde de nouveau déficiente cesse de me faire vomir tout ce que je mange.




Dimanche 8 décembre 2013 à 21:56

Les deux semaines les plus longues?

Samedi 7 décembre 2013 à 12:11

Ne plus penser,
ne plus imaginer,
Se plonger
dans l'agir
ne plus subir
.

RESPIRE!

Mardi 3 décembre 2013 à 23:16

Je ne les connaissais guère, à peine les avais-je vus deux ou trois fois, et pourtant leur départ, parce que ce sont leurs grands-pères me glace d'effroi.
Les nouvelles s'accélèrent, les signes nous enserrent; la peur, je l'exagère, il l'apaise mais j'ai froid.
Lui était un "légume", lui n'avait plus de voix mais en deux jours, deux fillettes m'ont parlé de la même loi.
Et puis ce fut elle, ses nodules, ses choix, et il y avait déjà elle, ce troisième filleul, cette fois.
Je ne les connaissais guère mais demain je serai avec eux, loin de moi. Je ne les connaissais guère, mais eux je les serre bien plus fort qu'une croix.


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