Ne plus écrire c'est la preuve que tout va bien même si tout est compliqué. Son absence fut sereine, les retrouvailles attendues.
Et après, il me dira car rien n'a changé, c'est lui qui mène à vue
verone
penséééés
Vendredi 28 août 2009 à 23:24
Vendredi 21 août 2009 à 23:31
Il ne m'a pas permis de passer une soirée agréable, il balance des phrases douloureuses sans s'en apercevoir et me mets dans un état insupportable sans le savoir.
Alors, je pleure, et pleure encore, le maudissant, regrettant mon attachement et me rends malade.
La soirée aurait pu être belle, agréable, harmonieuse mais elle n'est que solitude et douleur.
Je dois mettre un terme à cette relation impossible, je dois cesser de penser à travers lui, je dois cesser de croire qu'il pourra illuminer ma vie.
Une réponse sèche, pleine de promesses impossibles. Maison, s'il savait comme ce mot est une trahison
Alors, je pleure, et pleure encore, le maudissant, regrettant mon attachement et me rends malade.
La soirée aurait pu être belle, agréable, harmonieuse mais elle n'est que solitude et douleur.
Je dois mettre un terme à cette relation impossible, je dois cesser de penser à travers lui, je dois cesser de croire qu'il pourra illuminer ma vie.
Une réponse sèche, pleine de promesses impossibles. Maison, s'il savait comme ce mot est une trahison
Jeudi 20 août 2009 à 13:10
Comment peut-il dire qu'il serait apaisé si je rentrais chez moi, qu'au fond de lui c'est ce qu'il souhaite. Je l'aime, je pensais qu'il tenait à moi mais il ne veut qu'une chose: que je parte, que je le laisse tranquille. Comment peut-il croire que je peux retrouver ma vie, que je peux avoir une existence sereine dans cette famille? Il n'a donc rien compris. Il n'a pas compris que sans lui, je ne peux rien, je ne suis pas capable d'aller bien. Il n'a pas compris que mes filles n'auront pas une mère compétente si elle est malheureuse. Il n'a pas compris que ces mots matinaux m'entraînent vers une journée infernale durant laquelle plus rien n'est possible. Je crie, m'énerve, m'isole mais ne suis pas celle que j'aurais été si cette matinée avait eu le parfum qu'elle méritait.
JE vais mal, je le harcèle, voudrais le voir, lui parler, lui hurler mon impossibiité à faire face mais il se tait, ne répond pas et me laisse dans ce marasme qui m'étouffe et dans lequel je me noie.
JE vais mal, je le harcèle, voudrais le voir, lui parler, lui hurler mon impossibiité à faire face mais il se tait, ne répond pas et me laisse dans ce marasme qui m'étouffe et dans lequel je me noie.
Mardi 18 août 2009 à 11:43
C'est vrai, il est beau, intelligent, drôle et possède tout ce dont une femme rêve. Il sait tout faire, il est un homme serviable, attentionné, à l'écoute. Il n'a finalement que deux défauts, mineurs, sans importance: il ne parle pas et n'ai pas porté sur la chose. Qui ne rêverait pas d'un tel compagnon, d'un tel mari, d'un tel père pour ses enfants? J'ai rencontré la perle rare, nous nous sommes mariés et aujourd'hui, je mets tout en l'air pour un homme qui a l'âge de mon père, maîtrise davantage le pronom "je" que le nous et ne me donnera jamais une réelle place dans sa vie. N'est-ce pas une folie?
Réveille-toi, ma pauvre, réveille-toi avant que tu ne te retrouves toute seule.
Réveille-toi, ma pauvre, réveille-toi avant que tu ne te retrouves toute seule.
Samedi 15 août 2009 à 3:19
Ecrire à nouveau ici après tous ces jours au loin, partis trop loin, trop longtemps, trop mal. Revenir et toujours les mêmes questions, les mêmes maux. Toujours la même chose et pourtant, tout semble différent. Une certaine rancoeur, les premières vraies vacances sans romances parce que trop de non dit, de tension, d'incertitude et d"hésitation. Retrouver les miens mais toujours cette tension, cette douleur, cette incapacité de se parler, de se confier et la fatigue, la nervosité, la nécessité de rentrer, de ne plus jouer.
Et au milieu de tout cela son silence, son absence et la peur d'un départ, d'un fin trop brutale, d'une annonce redoutable.
Et pourtant, avoir ressenti parfois l'amour de ses mots, de ses bras, l'avoir senti heureux, fier, amoureux. Mais, il y a cette peur, cette impression insupportable qu'on ne sera jamais assez fort, jamais assez courageux pour lutter contre la fureur et la torture du dépit amoureux.
Continuer à se taire, à ne pas la secouer, continuer à tolérer ses appels imbéciles, ses appels crucifiant les possibilités d'un autre tourment. Son couple se meurt, elle a voulu tuer définitivement le mien, entraîner la douleur des miens. Elle a tout détruit, tout éclaboussé de son mépris, elle a même utilisé ses propres enfants, elle n'a plus que les miens pour nous toucher plus durement.
Jamais nous ne pourrons accepter la douleur engendrée, jamais nous ne pourrons simplement nous aimer, la route est semée d'embûches et nous ne sommes pas armés, nous ne sommes pas prêts à lutter car notre amour nous terrasse et nous encrasse.
Depuis plusieurs jours, j'attends de ses nouvelles, j'attends ses mots qui ne viennent pas. Quand me donnera-t-il enfin le souffle qui me fait défaut?
Et au milieu de tout cela son silence, son absence et la peur d'un départ, d'un fin trop brutale, d'une annonce redoutable.
Et pourtant, avoir ressenti parfois l'amour de ses mots, de ses bras, l'avoir senti heureux, fier, amoureux. Mais, il y a cette peur, cette impression insupportable qu'on ne sera jamais assez fort, jamais assez courageux pour lutter contre la fureur et la torture du dépit amoureux.
Continuer à se taire, à ne pas la secouer, continuer à tolérer ses appels imbéciles, ses appels crucifiant les possibilités d'un autre tourment. Son couple se meurt, elle a voulu tuer définitivement le mien, entraîner la douleur des miens. Elle a tout détruit, tout éclaboussé de son mépris, elle a même utilisé ses propres enfants, elle n'a plus que les miens pour nous toucher plus durement.
Jamais nous ne pourrons accepter la douleur engendrée, jamais nous ne pourrons simplement nous aimer, la route est semée d'embûches et nous ne sommes pas armés, nous ne sommes pas prêts à lutter car notre amour nous terrasse et nous encrasse.
Depuis plusieurs jours, j'attends de ses nouvelles, j'attends ses mots qui ne viennent pas. Quand me donnera-t-il enfin le souffle qui me fait défaut?