Dimanche 30 mars 2014 à 21:47

Juste envie de crier et me demander si les gens ont vraiment de la mémoire.

Anne, ma soeur Anne... J'espère que toi au moins, tu verras quelque chose de meilleur venir.

Ce soir, mon coeur saigne et me rappelle que nous échouons à permettre de savoir lire entre les lignes, de savoir chercher les vérités derrière la manipulation des mots.

Il ne reste que les larmes...

Vendredi 28 mars 2014 à 22:03

Qu'est-ce être mère. Une évidence, une certitude, un hasard???
Je ne sais pas.

Plus jeune, je ne voulais surtout pas être mère, mettre au monde quelqu'un qui me ressemble, qui dépendrait de moi, à qui je devrais imposer des règles, des lois, qui naitrait pour mourir un jour... et je ne sais quoi encore.
La vie en a décidé autrement, elle m'a imposé cet être que je n'envisageais pas mais que je n'ai pu me résoudre à quitter une fois qu'il s'est implanté. Pas d'anti IVG, pas de raison moraliste, juste l'impossibilité, pour moi, en mon corps de mettre fin à cette vie qui se pointait, à ce signe d'un amour incommensurable que je portais à l'homme qui en était tout aussi responsable. C'était juste moi, à ce moment-là, avec cet homme-là qui ne pouvais pas et qui voulais voir vivre ce petit haricot qu'on me montrait, cette tâche sur un écran. Une autre époque, un autre amant, d'autres conditions auraient pu tout changer. Mais là, c'était comme une évidence, une nécessité.

Alors, je n'ai pas voulu être enceinte mais j'ai ensuite désiré de tout mon être ce bébé. Et aujourd'hui, lorsqu'avec elle nous évoquons les conditions de son existence, nous n'éprouvons aucune gêne, aucune honte qu'elle soit non pas un accident mais une surprise et, elle le vit très bien, assurément.

Depuis, ce sont deux autres merveilles qui sont venues agrandir le cercle, deux autres petits êtres qu'on a peu à peu appris à découvrir, à apprivoiser. Et je ne comprends toujours pas comment nous pouvons être, nous êtres aussi imperfectibles, nous parents séparés, nous parents tellement toujours débordés, nous parents tellement jeunes au départ, et tellement peu préparés, comment nous pouvons être les parents d'enfants aussi extraordinaires.
Pourquoi, ici, les cris ne résonnent jamais? Pourquoi ici les querelles fraternelles ne se développent jamais? Pourquoi semblent-elles si heureuses de se trouver, de se voir, de se raconter leur journée? Qu'a-t-on fait pour que la sérénité semble si souvent de mise?

Je cherche, je ne trouve pas et je crois que finalement, tout cela n'est que question de chance, de refus de la norme, de volonté farouche de les protéger, de certitudes sans doute erronées mais auxquelles on s'est accroché.
Elles ont suffisamment d'écart pour avoir chacune une place à elles. Elles n'ont jamais connu la moindre tape, la moindre fessée. Elles n'ont jamais été le seul centre du monde mais ne se sont jamais senties délaissées. Mais quoi encore? Elles ont vécu protégées longtemps par notre amour, notre refus de les associer à nos crises, notre respect même lorsque l'amour s'est envolé. MAis quoi encore??? Quoi? C'est quoi la solution?

Toute petite, notre aînée était déjà "parfaite". Elle n'avait pas 12heures qu'elle dormait déjà toute la nuit. Oui, jamais, non jamais je ne me suis levée la nuit pour lui donner à manger, d'ailleurs, je ne me suis jamais levée la nuit pour donner la tétée, chacun ayant suivi la route tracée par la demoiselle. Alors, qu'est-ce que ça change? ALors, ça change tout. Le matin, nous nous réveillions reposés, attentifs à ses premiers sourires parce que depuis 10 heures elle dormait. Qui peut avoir la pêche quand la nuit a été morcelée, empietée, voire inexistante? Moi, je pense que je n'aurais jamais eu trois enfants si j'avais dû vivre le calvaire des nuits à se lever toutes les 2 ou 3 heures. Je n'ai aucun mérite d'avoir eu de la patience, d'avoir eu un enfant dormeur, aucun, juste beaucoup, beaucoup de chance.
Ensuite, j'ai eu la chance de rencontrer un médecin efficace, de bons conseils et notre petite a eu la bonne idée de ne jamais tomber malade. Là encore, ce n'est qu'une question de chance et d'environnement favorable. Pas de garde collective avant ses 12 mois (de l'avantage d'être encore étudiante, et là encore, comment fait-on quand il faut travailler, aller gagner durement les quelques deniers nécessaires?), quelques notions rudimentaires d'hygiène suivies scrupuleusement (on ne le dira jamais assez mais se laver les mains 10 fois par jour, on ne connaît rien de mieux pour éviter les contaminations). Et puis, ces souvenirs d'une émission regardée sporadiquement dans laquelle une pédopsychiatre nommée Claude Halmos intervenait. Et une certitude: jamais je ne pourrai avoir un geste "violent" aussi minime soit-il envers mes enfants. Ces souvenirs nous ont donné quelques règles à suivre: inculquer la politesse c'est aussi être poli. Tout ne s'explique pas mais une règle formulée est une règle appliquée. Un enfant n'est pas un singe, si elle dort, je la laisse dormir même si papy ou meilleur ami viennent pour la voir. Quand elle tombe, je ne me précipite pas vers elle mais j'attends bienveillamment qu'elle se relève, seule manière pour voir si rien n'est grave. A table, je finis mon assiette et par conséquent je ne donne pas de grandes quantités mais je montre que manger est un moment agréable donc non, bébé ne mange pas avant ou après, mais en même temps, sans qu'il nous prenne tout notre temps mais parce qu'il fait partie de la famille. Alors, oui, quand il parle, je l'écoute mais si quelqu'un d'autre parle, il attend. Quand je veux lui parler, je lui dis tu et je suis je et non "maman va faire un bisou à Arthur ou Et où il a mal Arthur? mais bien je vais te faire un bisou ou mais où as-tu mal?". Et si je lui parle, je me baisse pour qu'elle voie que je m'adresse à elle. Quand il est l'heure de dormir, on organise un rituel. On lit une histoire même si bébé à 1 semaine et après l'histoire on reste au lit même si on n'a pas sommeil... Peut-être que tout cela était stupide mais c'est tout ce qu'elle expliquait dans cette émission quand les parents venaient raconter leurs problèmes. Et comme tout cela nous semblait naturel, on a obtempéré. On a appris à compter, jusqu'à trois. Et si, malgré ce décompte ce qui était demandé n'était pas fait, alors, il y avait un coin. PAs de cri, pas de hurlement, juste un coin (qui pouvait ne pas être un angle d'ailleurs), où la punition était donnée. Inutile de lui hurler dessus, inutile de lui donner des menaces. Simplement un décompte et ce coin, où sans culpabiliser on la déposait en attendant qu'elle accepte ce qui était demandé. Sans doute savait-elle que le décompte ne serait pas un faux décompte et très vite, le trois n'est plus jamais tombé. Mais, quand on est deux, quand on n'est pas fatigué, quand on est heureux, quand on est entouré, il est très facile de suivre ces principes. Aurais-je réussi à rester toujours calme si j'avais dû travailler durement, si j'avais dû me lever chaque nuit, si j'avais eu des problèmes de couple, d'argent, de maladie... La chance, je vous dis, la chance!

Alors, quand je me plonge très loin en arrière, je n'ai souvenir que d'un énorme coup de colère, un jour où la demoiselle, âgée de 30 mois et nouvellement grande soeur voulait à corps et à cris un bonbon. Aujourd'hui encore cette scène reste mémorable et est la source de taquineries à son égard. Elle vociférait sa demande, sachant pertinemment que l'heure tardive ne lui permettrait de voir ce caprice accordé. Elle s'est donc retrouvée isolée, mise au coin alors que nos amis s'étonnaient de notre inflexibilité, poursuivant ses cris et a finalement fini par s'endormir. Le lendemain, elle avait oublié, on n'en a guère reparlé et c'est la seule colère que l'on se rappelle. Est-ce parce qu'elle a toujours su que les colères n'auraient jamais de réponse ni récompenses? est-ce parce que d'elle-même elle comprenait les raisons de notre refus? on ne saura jamais. Mais aujourd'hui encore, je suis étonnée lorsque je vois des parents dire "ce sera le dernier" et donner et donner encore un bonbon, un chocolat, un bout de pain... parce que bébé ou enfant se met à pleurer.
Nos autres petits bouts nous ont permis la même sérénité. Pourtant, lorsque notre deuxième enfant est né, les premières semaines furent douloureuses. Notre bébé dormait de 21h à 9h mais hurlait de 9h à 21h. Durant 1 mois, elle n'a cessé de crier jusqu'à ce que notre médecin rentre de vacances et nous conseille de lui donner davantage à manger en épaississant son biberon car elle semblait avoir besoin de boire plus consistant. Un bébé carotte comme on ne le conseillerait sans doute plus jamais maintenant mais un bébé qui du jour au lendemain est redevenu souriant. Parce qu'un bébé qui pleure tout le temps, ça ne peut pas être un caprice, ça ne peut pas juste parce qu'on est une mauvaise mère. Enfin, c'est ce que je pense aujourd'hui. Mais là, pendant 1 mois, j'ai pleuré et pleuré encore car elle criait tant que je ne parvenais plus à la voir comme une mère, parce qu'elle hurlait tant que je pleurais à mon tour, sentais la colère, la détresse et parfois des envies agressives surgissaient de moi. Mais j'avais la chance d'avoir le droit de le dire, d'avoir le droit de l'exprimer parce que personne ne mettait en doute pour amour pour ce petit être, personne ne me jugeait. LA chance, je vous dis, la chance! Très vite, malheureusement, la maladie s'est déclarée, insidieuse, une précocité terrifiante, des interrogations angoissantes (quel être normal s'interroge à deux ans sur l'existence ou non d'un nombril chez le premier humain? Personne. Qui a six mois est capable de trouver un moyen de sortir de son lit à barreaux? Qui dès 2 ans se balade sur un vélo à deux roues, sans roulette parce que, les tricycles, c'est pour les bébés?) Alors, contre cette maladie-là, on ne peut rien. On ne peut qu'accompagner. Et pourtant, aujourd'hui alors que la maladie a pris un nom douloureux, souvent synonyme, à la télé, de risée, de moquerie, elle, elle l'apprivoise et vit très sereinement avec elle, l'expliquant sans déni, sans honte et l'acceptant comme faisant partie de sa vie. Malgré cette Tourette, rien ne vient ternir la sérénité. Rien ne vient assombrir leur fraternité.

Je ne vais pas continuer ainsi chacune des naissances mais, aujourd'hui encore, je m'interroge. C'est vrai qu'on n'a jamais écouté les conseils des autres, qu'on n'a jamais eu honte de mettre nos enfants au coin devant témoin, c'est vrai qu'on a toujours fait comme on pensait juste, qu'on n'a jamais crié, qu'on n'a jamais cédé, qu'on a toujours été solidaire mais, je ne crois pas que cela soit suffisant. Nous connaissons plein d'amis tout aussi attentifs, exigeants, appliquant nos principes mais nous ne retrouvons pas souvent cette sensation d'enfants calmes, "bien élevés" comme on disait autrefois, d'enfants bien dans leur basket et soucieux de l'autre. Des enfants heureux, on en côtoie tous les jours mais il est vrai que, chez les autres, c'est beaucoup, beaucoup plus bruyant, agressif entre les enfants. Cela dit, est-ce si grave? Est-ce si important? J'en viens presque à croire que les filles sont plus calmes, plus faciles... Tous ces préjugés ridicules qui me semblent tellement obsolètes. Je crois qu'on a juste eu la chance d'avoir ces trois filles là, qui comme nous, n'ont pas besoin de crier, de se bagarrer, de se confronter, de se battre. Qu'on a eu la chance d'avoir trois enfants heureuses d'être ensemble, fières les unes des autres. Trois enfants qui ont le souci de bien faire parce qu'elles aiment apprendre, découvrir, être dans le monde.

Pourtant, je ne sais pas être une bonne mère, je le sens, je le ressens comme une évidence, et aujourd'hui, je me dis que c'est parce que mes enfants savaient que je ne serais jamais capable d'en être une qu'ils ont décidé d'être des enfants merveilleux, respectueux, attentifs. J'ai honte, bien souvent, de ne pas savoir être plus présente, être plus folle, être plus accueillante, moins exigeantehttp://verone.cowblog.fr/images/IMG2485.jpg. J'ai honte de mon égoïsme, de mon départ. MAis, il est une chose que je sais, c'est que je ne suis mère que parce qu'elles sont là, que je ne suis heureuse que lorsqu'elles sont là, qu'elles vont bien, qu'elles prennent un envol qui semblent leur convenir.

Finalement, être mère, cela ne se décide pas, cela ne va pas de soi, cela n'est pas simple. Etre mère, c'est un chemin qui nous permet simplement de trouver une place dans une vie sinueuse.


Dimanche 23 mars 2014 à 15:27

Parce qu'enfin les travaux se terminent, parce qu'enfin le choix est possible, parce qu'enfin la douleur s'est effacée, parce qu'enfin j'ai le droit de penser, parce qu'enfin tout me semble envisageable...


Partir ou pas.
Aller là-bas.
Prendre son envol.
Etre seule.
Etre libre.
Avoir peur.
Avoir envie.
Avoir peur.
Avoir envie.
La mort.
La vie.
L'espoir.
Le désespoir.
Le besoin.
Le souci.
L'argent.
Les dépenses.
Les économies.
L'indépendance.
La dépendance.
Etre un couple.
Etre célibataire.
Etre ensemble.
Etre seule.
Déménager.
Emménager.
Se disperser.
Se retrouver.

Ne pas savoir que faire. Laisser tourner. Laisser dérouler. Perdre pied. Prendre de l'assurance. Une impression cyclothymique. Passer d'un extrême à l'autre.
Et pourtant, il va falloir choisir!

Que tout serait plus facile si je n'aimais pas.
http://verone.cowblog.fr/images/DSCN5813.jpgEt pourtant, tout va bien!
 

Samedi 22 mars 2014 à 22:57

Elles ne sont ni judiciaires, ni politiques et pas encore électorales malheureusement.

20%,  c'est la quantité d'eau qui disparaît des tuyaux, 1 litre sur 5, 1300 milliards d'eau potable disparaissent chaque année de la faute seule d'un réseau mal entretenu.



Dimanche 9 mars 2014 à 18:47

Il fait beau, très beau, trop beau sans doute pour ces plantes qui auront du mal ensuite à résister aux frimas à venir. il fait beau et pourtant le noir s'abat de nouveau. Les périodes d'amélioration ne parviennent pas à tenir et sans cesse, je retourne à mes démons pour quelques jours d'oubli, pour ces heures d'attente vaine, pour ce téléphone coupé. L'impression que les efforts sont à sens unique et qu'il me faudra supporter être la femme de l'ombre jusqu'à la fin de mes jours.
J'aimerais avoir une carapace qui m'empêcherait de subir de plein fouet les conséquences de son indifférence. J'aimerais ne pas devenir une loque, incapable de m'occuper d'elles quand je ressens au plus profond de moi les plaies de son silence.

La fatigue m'envahit, les paupières lourdes, je voudrais me laisser à dormir, à rêver. Je voudrais n'avoir rien d'autre à faire qu'à me lamenter et dormir. Mais, je n'en ai pas le droit, elles ne le méritent pas. Et pourtant, la journée s'est passée ainsi, une migraine m'entraînant vers une douloureuse asthénie.

Il me faut m'atteler aux préparatifs tardivement décidés. Parce qu'elles le méritent, je vais les emmener vers ces canaux qu'elles désirent. Même si je dois lutter contre l'attrait d'une fin qui apparaît plus facile.

Jeudi 6 mars 2014 à 18:21

L'orage est passé et laisse les traces de cet ouragan qui nous a envahis mais tel le roseau nous n'avons que ployé, pas rompu. Fragilisés, quelque peu perdus mais toujours là, encore voûtés, pas tout à fait remis, nous avons émergé sous le soleil d'hiver qui resplendit.

La solitude m'enveloppe telle une couverture rassurante, comme un bien être ressourçant permettant le retour sur soi-même. L'ouragan a balayé tous les déchets, a fait émerger les reliquats des souvenirs amers et les a emportés. Lessivée, je retrouve la sérénité pour accepter ce moment délicat et en faire un moment doux et serein.



Mercredi 5 mars 2014 à 21:29

Après le noir, l'express le mènera près d'elleS et loin de moi.
Gâcher le peu de temps, la coupe pleine, ne reste pas le temps pour souffler la peine.
Le noir nous a envahis, la fin a ressurgi.
La pression tout doucement retombe mais la colère gronde, chacun ayant ses torts, chacun ses remords.

Le soleil n'a pas brillé sur nos balades lointaines, on est resté, on s'est quitté, il sera douloureux de se retrouver et les jours à venir seront ténébreux avant leur retour radieux et des jours plus lumineux.

Refaire sa vie sans détruire ce qu'on avait construit, accepter les doutes, les situations difficiles, trouver une place quand personne ne vous en donne, vivre douloureusement de ne compter pour personne et hurler pour enfin se faire entendre mais griller les jours les plus tendres.
C'est stupide, c'est dommage mais il est parfois nécessaire de sortir les dommages

La suite redevient hésitante, la peur encore plus présente mais les prochaines vacances rimeront peut-être avec Rome et romance?

Dimanche 2 mars 2014 à 15:00

La nullité amène à la bêtise, la douleur amène à l'horreur, l'obscénité est alors de mise, les fins ne sont jamais admises.

Il en est ainsi de toutes les histoires, elles ne peuvent se terminer bien, elles ne peuvent accepter l'inexorable fin, elles ne peuvent comprendre qu'il peut y avoir du bien à arrêter enfin.

Ok! Punto!

Un dimanche de vacances amène toujours un dimanche d'errance.

Samedi 1er mars 2014 à 0:39

Et ça se termine, un peu comme ça, un peu en douceur, un peu en douleur. Entre ennui, espoirs et récrimination.
Et ça se termine dans un sourire, dans un à peine au-revoir, pour quelques jours pour oublier de travailler.

ET ça se termine, sans pouvoir dire si tout va bien ou pas. Et restent gravés ces moments enchantés, restera son nom au palmarès, tellement mérité ou plutôt tellement facile. Il y restera son jeu qui les a tous étonnés et qu'elle cachait parmi tous ses talents qui ne parviennent pas à lasser.

Et ça se termine mais pas vraiment juste une pause qu'on attendait tous impatiemment.

Que fera-t-on de cette parenthèse? parviendra-t-on à fondre les braises?Parviendrai-je à taire les peurs et les pleurs? A entrevoir la lumière du soir?

Une parenthèse enfin et l'année qui défile, le retard s'accumule. Le théâtre remplacera le bonheur  sans malheur pour laisser place à la poésie en coup de vent.

Des hauts débats qui s'abattent pour combattre le rabat-joie.


Dimanche 2 mars: je n'ai pas su, je le savais que je ne le saurai pas et il n'a pas su déjouer les difficultés. Je n'ai pas su: PUNTO

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