Mercredi 30 juillet 2008 à 22:21

Vouloir tout reprendre à zéro, tout recommencer, vouloir retrouver son foyer et vouloir oublier que l'on s'est aimé.

Vouloir: cet infinitif pour un sujet infini et non défini. Qui veut? Qui désire cet avenir sans nous à venir? Qui est la conscience de ce retour à la situation initiale? Qui? Moi? Lui? Nous? Eux? Chacun donne sa voix mais personne n'ose ce qu'il veut vraiment.

Je ne veux pas de cette avenir fermé à notre sourire. Je ne veux pas de cette fin en forme d'amitié. Je ne veux pas l'oublier. Alors? Alors, je lui dis de rester chez lui, d'apprendre à nous séparer, d'essayer de modifier le prisme de notre réalité. Alors? Je lui dis, je le veux? NON mais l'amour donne des mots pour éviter les maux, l'amour entraîné la négation de sa propre volonté pour le bonheur de l'autre. Même si ce bonheur sera peut-être illusoire, emprunt de sagesse et de faux espoir, ce bonheur aura la saveur du possible et de la vie paisible. On ne peut refuser ce bonheur à personne et surtout pas à celui pour qui le coeur raisonne.

Je ne veux pas de cette horizon sans passion, de ce coeur vide, de ces illusions perdues. Je n'en veux pas mais je ne m'y opposerai pas.

Quelques jours de lumière, une fenêtre sur cette réalité que l'on croyait impossible, l'étendue du temps, le plaisir des heures perdues, l'agrément d'un rien inestimable, l'envie d'être ensemble, c'est tout.  

Jeudi 24 juillet 2008 à 2:34

Il diminue, s'atrophie, s'évanouit. Il ne me porte plus, me pèse et m'horrifie.

44, jusqu'où tomber, jusqu'où s'effacer?

44, c'est assez, il faut MANGER

Mardi 22 juillet 2008 à 18:21

Son chemin

Enlever l'amour

Pour mon envie de toujours

Lundi 21 juillet 2008 à 22:04

Absence, séparation et impossibilité d'évasion.

Incertitude, craintes, habitudes feintes.

Mots, maux, gros mots pour un corps trop maigre.

Nourriture abhorrée, minceur adorée mais attention danger.

Attente, dans la tente, sans détente. L'attente hante!

Maladie, mal à dire, sa lady pire

Lundi 7 juillet 2008 à 23:23

Une belle journée

Et après?

Samedi 5 juillet 2008 à 17:05

Il est parfois difficile de savoir ce qu'on pense, de connaître ses véritables sentiments, il est compliqué de maîtriser sese pensées et de s'assurer de leur réalité. Il est douloureux de se rendre compte que l'on s'est trompé, qu'il n'était pas celui ou celle qu'on imaginait mais cela est encore plus pénible ce elle, c'est soi.

Qui suis-je? Quelles sont mes attirances? Quels sont mes sentiments? J'ai l'impression qu'il m'occupe en permanence, qu'il a raison de ma raison, qu'il est mon autre, mon horizon. Mais est-ce la réalité? N'est-ce pas une chimère que j'ai construite au fil des mois, au fil de nos rencontres, au fil de mon illusion?

Si je couchais sur le papier les raisons que j'aurais de ne pas l'aimer, une seule ligne ne suffirait pas, ces raisons sont plurielles. Si j'y opposais les raisons que j'ai de l'aimer, que reste-t-il pendant tous ces moments où il n'est pas là? Que restera-t-il quand il décidera qu'il ne continue pas? Je m'accroche, je m'enfonce et lui maintiens ce double sens, cette double situation? Puis-je accepter cette double relation? Puis-je tolérer ma frustration quand lui vit une double union?

Quelle malédiction m'a frappée pour qu'il soit la visée de toutes mes situations, pour qu'il entrave ainsi ma raison? Comment explique-t-on ce coup de foudre à retardement?

Il est difficile de savoir ce qu'on pense vraiment, mais c'est à lui que je pense tout le temps

Jeudi 3 juillet 2008 à 17:50

Vacances, j'oublie tout, plus rien à faire du tout!!!"

C'est vrai? Ca marche? Pour lui, sûrement.

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