Parfois on est ébloui par sa propre douleur, ébloui tellement qu'on oublie de regarder au-delà d'elle, qu'on ne peut plus voir ce qui l'entoure, les raisons de son être, les douceurs qui pourraient l'apaiser.
Parfois, on est tellement ébloui que la vue se trouble et masque les beautés de la vie.
Parfois, il suffit de quelques secondes, de quelques instants pour la laisser s'ouvrir et s'emballer face à elle.
Parfois, l'éblouissement n'est pas et c'est la réalité elle-même qui est douleur.
-As-tu peur de ne plus me séduire?
- NON!
Et la douleur s'estompe, la douleur s'amenuise, devant leur regard, devant son sourire.
Tout n'est souvent qu'une question de point de vue.
Parfois, on est tellement ébloui que la vue se trouble et masque les beautés de la vie.
Parfois, il suffit de quelques secondes, de quelques instants pour la laisser s'ouvrir et s'emballer face à elle.
Parfois, l'éblouissement n'est pas et c'est la réalité elle-même qui est douleur.
-As-tu peur de ne plus me séduire?
- NON!
Et la douleur s'estompe, la douleur s'amenuise, devant leur regard, devant son sourire.
Tout n'est souvent qu'une question de point de vue.
Mais la douleur est là, on la laisse s'exprimer pour mieux la dompter, on la laisse couler entre nos veines - ça nous rappelle qu'on n'est pas indifférent à tout ce qui se passe.
Puis la douleur s'apaise. Peu à peu le calme revient, la lumière revient, un jour après l'autre, tout doucement, on avance. On réussit parfois à parler. On lève la tête, on sourira peut-être. Peu importe, le tout c'est de rester en vie.